L’industrie 4.0 : un virage nécessaire pour améliorer la compétitivité des entreprises canadiennes

Menée auprès d’une dizaine de manufacturières de toutes tailles, cette étude présente des cas concrets d’entreprises qui ont adopté (ou sont en voie d’adopter) des technologies propres à l’industrie 4.0 comme la robotique, l’automatisation, l’intelligence artificielle, la fabrication 3D, les données massives et la connectivité des objets

Ces manufacturières, qui opèrent dans des secteurs très variés allant de la haute technologie destinée à l’aérospatiale à des secteurs plus traditionnels comme ceux de l’alimentation et du vêtement rencontrent, en règle générale, beaucoup de succès.

Elles ont toutes une vision stratégique qui repose sur l’innovation, une vision largement adoptée et soutenue par l’équipe de direction. Si les ressources financières sont parfois un frein à la réalisation de projets, ce n’est pas le principal obstacle observé. En effet, une bonne gestion et priorisation des projets est considérée comme un des principaux facteurs de succès.

Six conseils pour réussir son virage 4.0

  • Comme dans tout projet de transformation, l’équipe de direction doit développer la vision, exercer son leadership pour initier le changement et réaliser le virage 4.0.
  • L’élaboration d’un plan stratégique numérique est primordiale pour guider la réalisation des projets d’implantation de nouvelles technologies et établir les priorités.
  • Il n’est pas toujours nécessaire, ni même souhaitable, de réaliser des analyses de rentabilité (ROI) très poussées. À terme, les bénéfices dépasseront largement les montants investis. C’est une question de compétitivité et même de survie.
  • Tout doit être connecté et intégré : les machines, les employés, les matières premières, les produits finis et ce, tout au long de la chaîne logistique, qu’elle soit locale ou mondiale.
  • Il faut apprendre à gérer et à analyser toutes ces données en temps réel afin d’optimiser la performance opérationnelle de l’entreprise.
  • Avant d’automatiser ou de robotiser un procédé manufacturier, il faut impérativement s’assurer qu’il soit sous contrôle et même optimisé. Il en va de même pour les tâches administratives.

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